
Les
berbères existent en Algérie deux milles cinquante ans (2050) avant
Jésus-Christ ils étaient connu sous le nom des Amazighs, issus de Mazigh
descendants de Ham fils de Noé.
Reconnu
comme étant des grands guerriers. Après chaque bataille gagnée, lors de la
pause ils organisent un jeu, appelé TIQAR qui signifie combat ( lutte et boxe pieds poings).
Depuis
l’ère des temps cette discipline faisait partie d’un jeu de distraction et de
loisirs.
Pour
les amazighs le TIQAR n’avait pas attendu les arts martiaux ou sports de combat
pour grandir dans les montagnes de la Kabylie ou dans le sud de l'algerie.
En
aperçoivent que dans certains villages, quelques personnes âgées (la Djemaa)
les sages du village organisent des cérémonies solennelles célébrant un
événement appelé (Waada) ou tous le monde femmes et enfants profitent de cette
jouissance. Ils égorgent des bœufs et partageait la viande pour tout le
village, les femmes faisaient du couscous et chaque habitant pauvre ou aisé
profite de la Waada. Tout en organisant le TiQar.

A
travers cette magnifique histoire légendaire du TiQar que l’inspirateur Maître Dr HAMED Mohamed fut
susciter la renaissance du TiQar, en lui donnant une synthèse de techniques
percussions, projections et soumissions doté par des règles et règlement, des
formes (KATA) pour leurs aspects techniques servent à codifier la valeur
philosophique et l’esthétique de la discipline.
Des
compétitions amateurs et professionnels qui se déroulent sur un ring ou sur un
TATAMI.